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Une connexion simplifiée : Que vous optiez pour un casque filaire ou sans-fil pour une utilisation sur PC ou Mac, vous profiterez d’une connexion efficace en seulement quelques instants. Si vous vous penchez vers un casque filaire, vous aurez seulement besoin de brancher ce dernier sur votre ordinateur à l’aide du port USB ou Jack 3,5mm de votre Avecdes centaines d’applications et de jeux en VR disponibles sur les casques Meta Quest, il y en a pour tous les goûts. PRODUITS. EXPÉRIENCES. APPLICATIONS ET JEUX . ASSISTANCE. Les comptes Meta sont arrivés : vous pouvez désormais créer un compte Meta pour vous connecter aux appareils de réalité virtuelle. En savoir plus. Débranchezle connecteur du casque du port de l’ordinateur et rebranchez-le. Si votre casque de jeu fonctionne sur batterie, assurez-vous qu’il est chargé avant de le Multimédia/ PC / PS4 / Xbox One PlayStation VR. Plantronics RIG 4VR : polyvalent ! Un casque audio spécial VR. MaXoE fait son festival. C’est le moment ou jamais de vous montrer la diversité Lesmeilleurs casques de VR à acheter en 2022. MàJ du 25/07/2022 - Oculus Quest 2, HTC Vive ou Sony PlayStation VR, quel est le meilleur casque de VR du moment ? Voici notre comparatif de casque Site De Rencontre Geek 100 Gratuit. 17 Moins d'un an et demi après le premier Oculus Quest, Facebook lance déjà la deuxième itération de son casque de VR à 6 degrés de liberté, autonome et sans fil. Ce délai fut suffisant pour proposer un véritable saut générationnel. Présentation Vous l'auriez deviné, l'Oculus Quest 2 succède au Quest premier du nom, sorti au printemps 2019, qui fut en son temps le premier casque de réalité virtuelle autonome à 6 degrés de liberté d'Oculus et Facebook. Comprenez par là qu'il s'agit d'un casque pouvant fonctionner sans fil, sans PC, sans console ni smartphone, mais tout de même capable de procurer une expérience de réalité virtuelle complète en roomscale, avec détection des déplacements dans un espace pouvant atteindre 5 x 5 rapport à son prédécesseur, le Quest 2 a évolué non seulement au niveau de son design et de son ergonomie, mais aussi bien sûr du côté de sa fiche technique. Le chipset Snapdragon 835 qui animait le Quest de première génération a laissé place à un Snapdragon XR2 — c'est-à-dire en substance un Snapdragon 865 modifié, optimisé spécialement pour les applications de réalité virtuelle et augmentée — épaulé par 6 Go de mémoire vive. L'autre évolution majeure se trouve du côté de l'affichage, pour lequel les écrans Oled PenTile de définition 1 440 x 1 600 px par œil sont remplacés par des dalles LCD RGB à 1 832 x 1 920 px par Quest 1 à gauche, Oculus Quest 2 à droiteMalgré tout cela, il ne s'agit pas à proprement parler d'un casque de "nouvelle génération" — du moins, pas au sens où on l'entendrait dans le monde des consoles de jeu. En effet, les deux Quest partagent une bibliothèque d'applications commune tous les jeux et applications sortis sur le Quest 1 jusqu'à maintenant sont utilisables sur le Quest 2 — avec des améliorations techniques —, et toutes les applications à sortir sur le Quest 2 seront également disponibles sur le Quest Quest 2 remplace sur le marché le Quest 1, dont la production a déjà été stoppée à l'heure où nous réalisons ce test. Mais ce n'est pas tout à terme, il prendra également la relève de l'Oculus Rift S, qui devrait disparaître progressivement des magasins dans les prochains mois. En effet, le Quest 2 bénéficie de la fonctionnalité Oculus Link qui lui permet d'être utilisé sur PC au moyen d'un câble — nous y reviendrons plus loin. Il deviendra alors le seul et unique casque restant au catalogue d' Quest 2 est proposé au prix de 349 € — soit 100 € de moins que le Quest 1 ! — pour sa version contenant 64 Go de stockage. Une version 256 Go existe également, au prix de 449 €. L'une comme l'autre peuvent être précommandées dès maintenant, pour une disponibilité attendue le 13 octobre 2020. Ergonomie Au déballage, le Quest 2 donne immédiatement l'impression d'être sensiblement plus compact que son prédécesseur. Est-ce une illusion causée par sa nouvelle robe blanche ? Sans doute en partie, car en vérité, les dimensions des deux modèles ne diffèrent que de quelques millimètres. Beaucoup plus concrète en revanche est leur différence de poids avec ses 500 grammes sur la balance, le Quest 2 a été allégé d'un peu plus de 80 en tissu du Quest 1 cède sa place à une finition "tout plastique" certes moins élégante, mais pas moins différence a évidemment une incidence très positive sur le confort du casque, qui a sensiblement moins tendance à pencher en avant et à peser sur le nez. C'est aussi grâce à cela que le Quest 2 peut se permettre d'être livré avec un serre-tête entièrement souple qui, en plus d'être évidemment très bénéfique pour la portabilité du casque, s'avère suffisant pour lui assurer une stabilité très plus est, les utilisateurs les plus exigeants pourront se tourner vers le serre-tête rigide Elite Strap vendu en accessoire, qui rééquilibre le poids, réduit la pression de la visière sur le visage et transforme tout bonnement le Quest 2 en casque de réalité virtuelle le plus confortable du marché. Il devient alors tout à fait envisageable de le porter pendant plusieurs heures d'affilé sans ressentir de véritable serre-tête se clipse sur les branches articulées du casque. Oculus Sangle Elite pour Quest 2Prix de lancement 49 € Rakuten 49,90 La Redoute Marketplace 57,32 marketplace 62,92 Marketplace occasion 62,99 Amazon 69,99 69,99 69,99 70,01 Amazon Marketplace 71,75 Top Achat 74,94 75,93 LDLC 76,93 Fonctionnement du tableau de prix S'agissant de la visière, les porteurs de lunettes doivent être informés que la mousse fournie avec le Quest 2 est assez étroite, mesurant seulement 13,5 cm de large presque 1 cm de moins que celle du Quest 1. Elle risque donc d'empêcher d'enfiler par dessus de grosses montures. Là encore, Oculus propose une solution en accessoire, avec un "fit pack" qui comprend à la fois une mousse plus étroite — qui pourra servir notamment aux enfants — et une mousse plus large. On aurait toutefois apprécié que ces mousses soient fournies de série plutôt que de demander une dépense le flanc gauche du casque se trouve le port USB-C servant non seulement à la recharge, mais aussi l'utilisation du casque sur PC en mode Oculus Link. Précisons bien cependant que le câble fourni avec le casque ne peut pas servir pour ce 2e cas d'usage non seulement sa longueur de 1,20 m est bien trop faible, mais il n'est en plus compatible qu'avec les transferts aux débits de la norme USB alors que le mode Oculus Link requiert un câble compatible USB des accessoires fournis de deux manettes Oculus Touch fournies avec le Quest 2 arborent elles aussi un nouveau design, situé à mi-chemin entre les Touch de première génération et celles qui accompagnaient le Quest 1. On retrouve ainsi une façade sensiblement agrandie, permettant de reposer son pouce sans le positionner sur un stick ou un bouton, et donc d'éviter les pressions involontaires ; les mises en pause inopinées en plein milieu d'une partie endiablée de Beat Saber devraient donc être beaucoup plus cache-batteries ont eux aussi été légèrement retravaillés, et sont désormais maintenus par des ergots mécaniques plutôt que par magnétisme. Voilà qui devrait résoudre les soucis de certains utilisateurs du Quest 1, qui se plaignaient de la tendance des caches magnétiques à se détacher pendant l'utilisation. Mais la principale évolution de ces nouvelles manettes se trouve du côté de l'autonomie avec une unique pile AA chacune, elles sont désormais capables de fonctionner plus de 30 heures durant, au lieu d'une petite dizaine d'heures pour les manettes du Quest d'évolution en revanche du côté de l'autonomie du casque lui-même, qui oscille toujours entre 2 et 3 heures en fonction de la gourmandise de l'application utilisée — et peut même descendre en dessous d'une heure lorsque l'on utilise la fonction Chromecast pour diffuser les images de sa partie sur un téléviseur à la chauffe du casque, elle s'avère parfaitement contenue. Après une heure d'utilisation intensive, la température maximale relevée sur l'enveloppe extérieure ne dépasse que de peu 35 °C ; quant à l'intérieur du casque, il reste en toute circonstance en dessous de cette limite. Pour cela, le Quest 2 fait usage d'un refroidissement actif, dont le ventilateur évacue la chaleur par l'interstice entre la façade et le châssis du casque. D'une discrétion absolue, ce ventilateur s'avère quasiment inaudible pendant l'usage. Le Quest 2 ne cause donc absolument aucun désagrément lié à la chaleur. Qualité d'image L'Oculus Quest 2 est équipé d'optiques de forme et de taille quasiment identiques à celle de son prédécesseur, assurant un champ de vision très respectable, équivalent à celui de la plupart des casques de réalité virtuelle pour PC — et donc sensiblement supérieur à celui du PlayStation VR, à titre de référence. Derrière ces lentilles prennent place des écrans LCD, comme c'est devenu la norme sur tous les casques récents. Les bienfaits de ces bons vieux cristaux liquides pour la VR sont désormais connus on perd certes le contraste quasi infini des dalles Oled du Quest 1, mais on gagne en contrepartie une structure de pixel RGB 3 sous-pixels par pixel, au lieu de 2 avec la structure PenTile du Quest 1 et un pixel-fill bien plus élevé, ce qui augmente la clarté de l'image, et réduit considérablement l'effet de grille — cette impression de voir l'image à travers une d'autant plus vrai que le Quest 2 réalise par ailleurs un bond spectaculaire au niveau de sa définition d'affichage, qui s'élève désormais à 1 832 x 1 920 px par œil. La précision qu'il propose n'est pas seulement supérieure à celle du Quest 1, elle s'élève même nettement au-dessus de casques haut de gamme pour PC comme le Vive Cosmos et le Valve Index respectivement 1 440 x 1 700 et 1 440 x 1 600 px par œil. Seul le HP Reverb, et son futur successeur le Reverb G2 font mieux, avec 2 160 x 2 160 px par œil. Les optiques assurent par ailleurs des performances parfaitement dignes des écrans leur pouvoir résolvant est excellent, les aberrations chromatiques quasiment inexistantes une fois le casque bien ajusté, et les effets de halos lumineux "god rays", bien que toujours existants du fait de l'utilisation de lentilles de Fresnel, sont d'une intensité bien assez faible pour ne jamais se mettre en travers de l'immersion de l' l'usage, ces nouveaux écrans sont un véritable bonheur. Même lorsque la définition de rendu des jeux est inférieure à leur définition native, leur densité de pixel permet de limiter au maximum non seulement l'effet de grille, mais aussi les fourmillements de l'image, et ainsi de nettement améliorer la sensation de présence. Qui plus est, on ne doute pas que cette sensation sera encore plus probante quand Oculus aura activé la possibilité de passer le taux de rafraîchissement à 90 Hz. À l'heure où nous écrivons ces lignes, le rafraîchissement est toujours limité à 72 Hz, comme sur le Quest 1, mais on nous promet que cette limite sera levée dans la foulée de la disponibilité publique du fonctionnement du casque nous empêche malheureusement de réaliser nos mesures habituelles de justesse colorimétrique des écrans. À l'œil nu, on ne relève toutefois absolument aucune dérive notable la direction artistique des jeux est parfaitement du côté du réglage de l'écart pupillaire, le Quest 2 ne propose plus de réglage "fin" comme le Quest 1, mais propose simplement de placer les blocs optiques sur 3 positions fixes, à 58, 63 ou 68 mm d'écartement. Les puristes y verront bien sûr une perte, mais en vérité, ce réglage approximatif suffit largement à assurer une expérience visuelle tout à fait satisfaisante à la très vaste majorité des utilisateurs. L'auteur de ces lignes peut en témoigner, puisque son écart pupillaire réel se trouve très exactement à mi-chemin entre 63 et 68 mm ; pourtant, que ce soit sur l'une ou l'autre de ces positions, aucune distorsion géométrique ou perte d'homogénéité majeure ne vient entacher l'image. Audio Comme son aîné, le Quest 2 est équipé de deux petits haut-parleurs directifs intégrés dans les branches du serre-tête, projetant leur son directement vers les conduits auditifs de l'utilisateur. Ce système ne peut bien évidemment pas faire de miracle en termes de qualité de reproduction sonore, mais on note tout de même une très sensible amélioration depuis le Quest 1. Alors que nous reprochions à ce dernier une spatialisation très peu naturelle, les haut-parleurs du Quest 2 parviennent à créer une stéréophonie beaucoup plus ample, et à véritablement restituer la scène sonore binaurale des jeux et applications — un élément éminemment critique en réalité haut-parleurs sont cachés derrière les petites fentes sur les revanche, la puissance reste très limitée, et le rendu manque terriblement de punch et de graves. Pour remédier à cela, la solution est bien sûr de brancher un casque ou des écouteurs à la sortie mini-jack. Cette dernière fournit une qualité de signal parfaitement honorable, digne de celle d'un bon smartphone. La puissance disponible suffit largement à alimenter n'importe quel casque nomade, et peut même convenir pour un casque monitoring ou hi-fi pas trop gourmand. Valeur Moyenne smartphones Niveau de sortie 115 mV RMS 116 mV RMS Distorsion harmonique + bruit 0,018 % 0,081 % Dynamique 80 dB 91 dB Diaphonie -57 dB -54,7 dB Expérience utilisateur Le fonctionnement de l'Oculus Quest 2 s'appuie sur les mêmes bases que le Quest 1, auxquelles s'ajoutent non seulement les bienfaits des évolutions matérielles du casque, mais aussi toutes les améliorations logicielles apportées par les équipes d'Oculus depuis un an et d'accueil dans le retrouve donc ici un système de détection de mouvement "inside-out" utilisant les quatre caméras disposées aux coins du casque pour se repérer dans l'espace, sans aucun capteur ou balise externe. La configuration initiale est on ne peut plus intuitive au premier allumage, le casque se met automatiquement en mode pass-through, permettant à l'utilisateur de voir son environnement. Ce dernier est ensuite invité à dessiner sur le sol, au moyen d'un des Oculus Touch, les limites de son espace de jeu disponible. Une fois cette étape passée, nous voilà déjà prêts à vivre de véritables expériences en roomscale. Précisons simplement que pour les expériences de ce type, le Quest 2, comme son prédécesseur, réclame au minimum une aire de 1,5 x 1,5 m, et préconise au moins 2 x 2 m. Si vous ne disposez pas de cet espace, rassurez-vous, la vaste majorité des applications et jeux peuvent également être utilisés en mode "stationnaire" assis ou debout, et ne vous réclament alors que de dégager autour de vous un cercle d'un mètre de détail qui mérite d'être souligné les caméras du casque ne sont plus désormais utilisées seulement pour le tracking, mais permettent aussi à l'utilisateur de se reconnecter instantanément à son environnement. À tout instant, il suffit de tapoter deux fois sur le casque pour réactiver le mode pass-through, et retrouver la vue de l'extérieur. Quel confort !L'application mobile Oculus est utilisée pour l'activation initiale du casque, l'accès au magasin d'application, le lancement d'installations à distance, et certaines fonctionnalités jeu, la qualité du suivi de mouvement est tout bonnement irréprochable. Nous avions déjà été impressionnés à l'époque de la sortie du Quest 1, mais Oculus ne s'est pas reposé sur ses lauriers, et a encore très sensiblement amélioré ses algorithmes de vision artificielle depuis. Le tracking des manettes a notamment réalisé des progrès étonnants les décrochages sont devenus absolument rarissimes, même lorsque l'on passe les manettes dans son dos ou qu'on les positionne l'une derrière l'autre devant le casque — et quand une dérive survient, elle est généralement minime, et corrigée en une fraction de casque étant compatible Bluetooth, il est possible d'y connecter une manette "classique" notamment une manette PS4 ou Xbox One pour certains jeux comme Tetris ces manettes ne sont pas le seul moyen d'interagir avec l'Oculus Quest 2, puisque l'on retrouve bien sûr la fonction de suivi des mains nues, qui avait déjà fait son apparition quelques mois plus tôt sur Quest 1. Plus besoin donc d'avoir les manettes en main pour naviguer dans les menus du casque, contrôler la lecture d'une vidéo, ou même pour jouer à certains jeux. Déjà extrêmement pratique et agréable sur Quest 1, cette fonctionnalité l'est encore plus ici, puisqu'elle profite de la puissance de calcul du nouveau chipset pour assurer un suivi encore plus précis et est l'un des quelques jeux disponibles exploitant le suivi des mains nues, plutôt que les manettes Oculus parlons-en de ce nouveau chipset. La plateforme Snapdragon XR2 promet des performances multipliées par deux ou trois selon les applications par rapport au Snpadragon 835 du Quest 1. Et il va sans dire que la différence est flagrante. Par défaut, sans aucune intervention des développeurs, le Quest 2 fait tourner toutes les applications Quest 1 à une définition nettement augmentée, pour tirer parti au maximum des nouveaux écrans du casque. Le gain en détail et en clarté est flagrant et salutaire, en particulier pour les jeux qui faisaient sur Quest 1 un usage agressif du rendu fovéal définition supérieure au centre de l'image par rapport aux bords, comme la trilogie Vader Immortal. Dans le même temps, les titres qui pouvaient souffrir de quelques soucis de performances, comme Pistol Whip, voient leur framerate très nettement sûr, les développeurs ont aussi la possibilité d'implémenter eux-mêmes dans leurs applications des optimisations spécifiques au Quest 2. Ils peuvent ainsi faire le choix de paramètres graphiques plus élevés, et c'est bien évidemment dans ce cas que les prouesses graphiques du Quest 2 sont les plus frappantes. Nous avons pu en avoir la démonstration avec des démos des jeux Rez Infinite et The Walking Dead Saints & Sinners, qui seront disponibles au lancement du Quest 2 le 13 octobre 2020. Tout en restant évidemment à bonne distance de ce que pourrait accomplir un PC haut de gamme, les versions Quest 2 de ces jeux se trouvent visuellement étonnamment proches de leur pendant sur PS4 terme, comme on l'a dit plus haut, les développeurs auront également le choix d'utiliser la puissance de calcul du Quest 2 pour faire passer la fréquence d'image de leurs jeux à 90 Hz au lieu de 72 Hz. Précisons bien toutefois qu'il reviendra bien aux développeurs de faire ce choix, et non pas à l'utilisateur — cela afin de garantir la stabilité des applications et l'autonomie du Walking Dead Saints & fonctionnalité à évoquer, mais pas des moindres la fonction Oculus Link, qui permet au Quest 2 d'être connecté à un PC pour être utilisé comme le Rift, et ainsi accéder non seulement à toute la bibliothèque du magasin Oculus Rift, mais aussi aux plateformes tierces comme SteamVR, Viveport, etc. Seul prérequis pour cela faire l'acquisition d'un câble USB-C compatible avec les débits de la norme USB Oculus propose son propre câble officiel au tarif indicatif de 89 € — un prix élevé qui se justifie par le fait qu'il s'agit d'un câble en fibre optique avec convertisseurs electro-optiques dans chacun des connecteurs, seule solution technique pour assurer à la fois une longueur de 5 mètres, une bande passante suffisante, et une souplesse adaptée à la pratique de la VR. Il est toutefois aussi possible d'utiliser un câble que la nouvelle orientation du port USB-C sur le casque, horizontale et non plus verticale, est beaucoup plus pratique pour faire passer le câble dans son dos !Le fonctionnement du mode Oculus Link était déjà très convaincant sur Quest 1, et il s'est encore très nettement amélioré sur Quest 2. Là encore grâce aux bienfaits du chipset XR2, le nouveau casque utilise un algorithme de compression/décompression vidéo sensiblement plus sophistiqué et performant, qui fait que les quelques artefacts visuels que l'on pouvait déplorer sur Quest 1 ont presque entièrement disparu. Le cas d'Half-Life Alyx est le plus parlant à ce sujet tandis que le Quest 1 était mis en difficulté par l'imagerie sombre et brumeuse du jeu de Valve, le Quest 2 la restitue de façon presque parfaitement immaculée. Il n'y a guère qu'en scrutant attentivement les dégradés de gris très sombres que l'on arrive encore à déceler quelques infimes traces de fourmillement ; une fois absorbé par le jeu, on ne remarque plus rien. On ne trouve absolument rien à redire non plus du côté de la latence des contrôles, imperceptible, ou de la qualité du suivi de mouvement, identique à ce que le casque propose avec les applications natives. Disons-le clairement envisagé en tant que casque pour PC, l'Oculus Quest 2 n'a strictement rien à envier au Rift S — et par plusieurs aspects, il lui est même supérieur !Half-Life Alyx. Points forts De véritables expériences en "roomscale" dans un casque de VR sans fil et autonome. Léger, confortable, bien construit, chauffe modérée. Bond spectaculaire de la puissance de calcul par rapport au Quest 1. Finesse de l'affichage impressionnante, effet de grille quasiment inexistant. Très intuitif et simple à utiliser. Suivi de mouvement très performant du casque, des manettes, et même des mains nues. À la fois casque autonome et casque pour PC grâce à la fonction Oculus Link. Points faibles Autonomie faible — entre 2 et 3 heures selon les applications utilisées. Plus de réglage fin de l'écart interpupillaire mais un réglage sur 3 positions est bien toujours présent. Mousse faciale de série étroite, risque de poser des problèmes aux porteurs de grosses lunettes. Conclusion Note globale Comment fonctionne la notation ? Seulement un an et demi après un Oculus Quest de première génération déjà follement séduisant, le Quest 2 fait l'effet d'une vraie petite bombe sur le marché des casques de réalité virtuelle. Non content d'apporter quelques améliorations ergonomiques très bienvenues à son prédécesseur, il réalise aussi un véritable bond générationnel d'un point de vue technique. Et comme si cela ne suffisait pas encore, il profite des immenses améliorations apportées au mode Oculus Link pour s'imposer non seulement comme le meilleur casque de VR autonome jamais sorti, mais aussi comme un excellent casque pour PC, en tout point équivalent ou supérieur à l'Oculus Rift S. Sous-Notes Ergonomie Qualité d'image Audio Expérience utilisateur Voir toute la catégorie Pro Bien choisir les points clés, nos tests Mis à jour le 26/07/22 à 07h00 Au même titre que le clavier, la souris et la manette, le casque est depuis longtemps l'une des armes indispensables aux gamers. Filaire, sans-fil, pour consoles, PC ou mobiles, voici l’antre des casques gaming dédiés à tous les profils de joueurs. Tout aussi importants que les autres équipements de jeu, les casques-micros gaming ou casques gaming, casques gamers doivent être le vecteur ultime du son dans les jeux vidéo. Ils sont également les garants d’une bonne qualité de communication pour les jeux en ligne. De nombreuses technologies et fonctionnalités ont également fait leur apparition pour s'adapter à tout type de demande transmission sans-fil propriétaire, spatialisation virtuelle, head-tracking, Bluetooth, design modulaire, RGB...Casques gaming Corsair, casques gaming Logitech, casques gaming Turtle Beach... vous trouverez dans ce comparatif tous les casques orientés pour le jeu vidéo dans différentes gammes de prix pour PC, Playstation, Xbox, Switch, smartphones... Le comparatif continue ci-dessous Comparatif & Guides d'achat Guide d’achat de la rédaction Quels sont les meilleurs casques gaming ? Quels sont les meilleurs casques gaming Corsair ? Quels sont les meilleurs casques-micros pour le jeu en streaming ? Quels sont les meilleurs casques gaming Logitech ? Laissez-vous guider par nos experts Comment sont testés les casques gaming chez Les Numériques ? Comme tous les casques "classiques", tous les casques-micros gaming sont soumis à un protocole de test rigoureux dans notre laboratoire. On y mesure la réponse en fréquence, la distorsion harmonique, la réponse impulsionnelle, les signaux carrés, etc. Toutes les mesures ne sont pas publiées dans nos tests, mais sont prises en compte et combinées avec de longues périodes d'écoute analytique et d'utilisation, en jeu ou non. Le microphone est quant à lui testé en condition de jeu normale sur le chat. Pourquoi choisir un casque gaming plutôt qu’un casque Bluetooth ou filaire “classique” ? Le casque Bluetooth est la solution la moins adaptée à la pratique du jeu vidéo. Déjà gênante pour le "simple" visionnage de vidéo, la latence généralement amenée par le protocole de communication Bluetooth serait absolument inacceptable en jeu imaginez appuyer sur le bouton tir de votre manette, puis devoir attendre plusieurs dixièmes de seconde avant d'entendre le coup de feu ! Si vous voulez vous libérer des câbles, le casque gaming avec transmission sans-fil propriétaire est la seule option adaptée et viableL’utilisation d’un casque filaire “classique” est envisageable puisqu’il permet de se débarrasser des deux problématiques mentionnées plus haut. Attention tout de même à la sensibilité du casque, surtout si vous passez par la sortie casque d’une manette de jeu sans-fil Playstation PS4 / Microsoft Xbox One notamment ou d’une console portable Nintendo 3DS / Switch... certains modèles de casques Hi-Fi ou monitoring ont besoin d’une sortie casque performante pour libérer tout leur la question du micro se pose toujours. Le micro d’un casque nomade n’est pas pensé pour la communication en jeu et ses contraintes, à contrario des micros perches des casques gamers. La qualité de captation proposée par ces premiers est très hétérogène et souvent très moyenne, surtout sur les casques Bluetooth. Pour ne pas arranger les choses, il y a une forte probabilité qu’ils ne réduisent pas suffisamment les bruits environnants un défaut qui risque d’agacer très vite vos coéquipiers si vous n’êtes pas dans une pièce silencieuse. Les micros de casques gaming sont idéalement placés au plus près de la bouche et sont plus directifs. Autre petit détail qui fait la différence ils sont activables/désactivables très rapidement. Si vous jouez sur PC et que vous souhaitez conserver votre casque “classique”, complétez votre équipement avec un microphone USB. Mon casque gaming peut-il être adapté à d’autres usages ? Oui, si votre casque gaming dispose d’une entrée mini-jack / d’un câble mini-jack, celui-ci fonctionne comme n’importe quel autre casque. Vous pouvez le brancher sur une sortie casque d’un appareil de lecture pour écouter n’importe quel contenu audio. Pour une utilisation plus agréable en déplacement, de nombreux modèles de casques gamers filaires disposent d’un micro détachable/rétractable et sont fournis avec un câble spécifiquement dédié à cet usage avec parfois des commandes de volume, un bouton multifonction et un micro kit mains-libres. Nous le spécifions tous ces points dans nos tests lorsque cela est le rare, certains fabricants commercialisent des casques-micros gaming “hybrides” avec module Bluetooth intégrés pour celles et ceux qui voudraient connecter leur casque à leur smartphone/baladeur pour l’écoute en déplacement. Son stéréo ou spatialisation virtuelle surround etc. ? De nombreux modèles de casques gaming se vantent de reproduire un son surround voire supérieur, pour gagner en précision spatiale et en immersion sonore. Ils s'appuient pour cela sur des techniques de virtualisation par approximation binaurale, afin de reproduire via les deux haut-parleurs d'un casque une expérience auditive s'approchant autant que possible de celle d'un home cinéma. Ils y parviennent avec des fortunes très diverses, certains produisant un réalisme spatial bluffant, tandis que d'autres ne font que dénaturer le signal sonore sans rien lui apporter. Nous vérifions bien sûr cela attentivement dans nos bien cependant qu'il est de moins en moins nécessaire de posséder un casque explicitement compatible ou pour goûter aux joies du surround virtuel. Sur certaines plateformes, il existe désormais plusieurs solutions purement logicielles permettant d'ajouter cette virtualisation à n'importe quel casque stéréo DTS HeadphoneX Xbox/Windows, Dolby Atmos for Headphones Xbox/Windows, THX Spatial Audio Windows... sans oublier le très prometteur système Tempest 3D AudioTech de la future PlayStation 5 ! Sans-fil ou filaire ? Dans les deux cas, on peut jouer dans d’excellentes conditions, que cela soit au niveau du confort ou de la qualité audio. Comme avec les souris ou les claviers sans-fil pensés pour le jeu, la latence de communication des casques gaming sans-fil est négligeable puisqu’elle passe par un protocole propriétaire, ce point ne pose donc pas de problème. Le choix entre l’un ou l’autre dépend de vos besoins et de vos casque sans-fil offre une bien plus grande liberté de mouvement et permet de libérer l’espace de jeu ou le bureau des câbles. En revanche, il y a plusieurs limites à prendre en compte la portée, l’autonomie du casque, la compression du signal du micro et l’impossibilité d’utiliser le casque via un câble mini-jack sur certains modèles. Comment m’assurer que le casque gaming que j’ai choisi fonctionne avec ma/mes plateformes préférées ? C’est un point que nous précisons dans nos tests de casques gaming, et qui est renseigné sur les boîtes/fiches techniques des produits. Il y a quelques généralités à savoir si le doute votre casque se termine par un unique connecteur mini-jack 3,5 mm 4 points, il peut être utilisé avec la grande majorité des plateformes récentes PC, PS4, Xbox, Switch, casques de VR, smartphones... Il peut y avoir une exception si vous jouez sur PC. Certaines machines, notamment les PC de bureau, disposent d’une connexion distincte pour la sortie casque et pour l’entrée micro. Dans ce cas, il faudra veiller à ce qu’un adaptateur Y “splitter” en anglais, se terminant par un double connecteur mini-jack 3 points, est fourni avec le casque pour que ce dernier puisse fonctionner le cas d’une connexion via USB A, votre casque sera normalement compatible avec les PC Windows et Mac ainsi que les consoles Playstation PS4 et PS5 et Switch, si rien de spécifique n’est mentionné. Si vous faites êtes joueur Xbox One ou Series X, il faudra néanmoins acquérir un modèle spécifiquement compatible avec cette cette plateforme — lequel fonctionnera généralement avec les PC sous Windows 10, mais aucun autre appareil. Quelques rares modèles de casques gaming proposent également une connexion USB C, pour se connecter sur smartphones, Switch ou sur les ordinateurs équipés de ce connecteur. Tous les micros de casques gaming se valent-ils ? Quels points prendre en compte ? Non, la qualité de captation est très variable selon les modèles. Afin que vous puissiez faire le bon choix, nous dédions une sous-note “Micro” et plusieurs paragraphes dans chaque test de casques-micros cette partie, nous donnons autant d’indications techniques et d’exemples concrets que possible avec en prime un ou plusieurs extraits de captation réalisés avec le micro. Nous prêtons surtout attention à l’intelligibilité de la voix, mais aussi à l’équilibre fréquentiel de la captation respect du timbre de la voix, à la sensibilité aux plosives et sifflantes sons “p”, “b”, et “s” et “f”, à la propension du micro à capter les bruits environnants ...Si votre priorité absolue est d’avoir un micro intégré d’excellente qualité, visez d’abord les casques gaming filaires puisqu’ils ne sont pas sujets aux limitations de la transmission sans-fil réponse en fréquence limitée, compression du signal.... Conception fermée, ouverte… que choisir ? Tout comme les casques Hi-Fi, on trouve des casques-micros gaming à conception fermée ou ouverte. Cette différence joue surtout sur le niveau d’isolation sonore et sur la perception de la scène sonore. Un casque fermé va tendre à offrir une isolation plus importante pratique si vous jouez dans un environnement bruyant, à l’inverse du casque ouvert qui cherche à isoler le moins possible l’ revanche, une conception ouverte aura l’avantage d’offrir une restitution plus large, plus naturelle de l’espace sonore ainsi qu’une meilleure perception des différents éléments que la moyenne des casques fermée. Afin d’avoir un bon compromis entre isolation, aération et restitution naturelle de l’espace sonore, certains fabricants de casques gaming tentent une approche “hybride”, avec plus ou moins de réussite. 1 2 Sélectionnez 2 produits à comparer. Publications qui peuvent vous intéresser Sony a beaucoup investi sur la réalité virtuelle dernièrement et le constructeur a ainsi lancé en 2016 son tout premier casque à réalité virtuelle, le PlayStation VR. Un an et demi plus tard, le moment est sans doute bien choisi pour faire un point sur l’un des casques à réalité virtuelle les plus accessibles du marché. Le PlayStation VR a été évoqué pour la toute première fois par le géant nippon en 2014, mais il a fallu attendre le 13 octobre 2016 pour pouvoir mettre réellement la main dessus. Contrairement à la plupart de ses concurrents, Sony a opté pour un positionnement tarifaire relativement accessible et le casque était ainsi proposé lors de son lancement à 399,99 €. Il coûte désormais 100 € de moins et ce nouveau prix le rend bien entendu encore plus séduisant. Mais la question que vous vous posez sans doute, c’est de savoir s’il mérite réellement son prix. Si tel est le cas, alors ce test devrait beaucoup vous intéresser. Packaging & Accessoires Le PlayStation VR est livré dans une boîte très imposante et comportant un nombre considérable de visuels. Sans surprise, Sony a fait le choix de se focaliser sur les fonctions et les expériences délivrées par le casque afin d’inciter les propriétaires d’une PS4 à franchir le pas. En ouvrant la boîte, on trouve sur plusieurs compartiments contenant chacun un nombre invraisemblable de câbles. L’installation du PlayStation VR n’a effectivement rien d’une partie de plaisir et cette étape nécessite ainsi beaucoup de patience et de rigueur. Le casque ne se suffit ainsi pas à lui-même et la PS4 n’est pas suffisamment puissante pour pouvoir le faire tourner correctement. L’utilisateur devra ainsi s’appuyer sur un processeur dédié, un processeur à placer entre la console, le casque et le téléviseur. Pour commencer, il faudra donc brancher ce fameux processeur à une entrée HDMI du téléviseur en s’appuyant sur le câble fourni. La PS4 devra être branchée sur le processeur en s’appuyant une fois encore sur un câble HDMI fourni dans la boîte. En parallèle, l’utilisateur devra également connecter le PlayStation Camera à sa console et le placer ensuite devant ou au-dessus de son téléviseur en fonction de sa configuration. À noter que la caméra en question devra être orientée de telle façon à avoir notre tête et la partie haute de notre corps dans son champ de vision. Il sera donc préférable de prévoir un peu de recul pour éviter les mauvaises surprises. Ensuite, nous devrons connecter le processeur du PS VR à la PS4 en nous appuyant cette fois sur un câble USB. Lorsque tout sera prêt, il ne nous restera plus qu’à connecter le processeur à une prise secteur et le casque au processeur pour compléter l’installation et la mise en place du casque. Car en effet, le PS VR ne pourra pas s’affranchir du sempiternel câble et il devra donc être physiquement connecté au processeur pour pouvoir fonctionner, le tout par le biais d’un câble doublé. En dehors du casque, du processeur et de tout le câblage, Sony fournit également un mode d’emploi plutôt bien foutu et des écouteurs stéréo accompagnés de plusieurs embouts d’oreille, des écouteurs qui viendront directement se connecter sur la télécommande intégrée au câble du casque. Design & Ergonomie Je ne vais pas vous mentir, en sortant le PS VR de sa boîte, ses dimensions m’ont fortement interpellé. La RV, c’est bien, mais uniquement lorsque l’immersion est présente et donc lorsqu’on oublie la réalité. Ce qui est évidemment difficile avec un casque de plusieurs kilos sur le bout du nez. Fort heureusement, Sony a bien fait les choses et si le casque de la marque est très imposant, il est également très léger. Suffisamment pour l’oublier totalement une fois immergé dans une des nombreuses expériences proposées sur la plateforme. Ceci étant, la mise en place du casque demande un peu d’habitude. Pour commencer, il faudra en effet appuyer sur le bouton présent à l’arrière de la sangle et tirer cette dernière pour pouvoir l’enfiler et le maintenir solidement autour de notre crâne. Ensuite, nous devrons appuyer sur le bouton présent sous la visière et tirer cette dernière contre notre visage pour parachever le tout, sans oublier bien évidemment de mettre sous tension le téléviseur, la console et le casque. Le PS VR a un autre avantage de taille il est compatible avec les lunettes. Les porteurs de verres correctifs pourront en effet conserver leur paire de lunettes sur le nez sans le moindre problème pour profiter d’une image nette et sans bavure. Mais ce n’est pas ce qui m’a le plus surpris. Le PS VR est également utilisable par tous les publics et pas uniquement par les ados et les adultes. Grâce à l’élastique présent dans sa sangle, le casque peut également être utilisé par des enfants de moins de dix ans sans la moindre difficulté et sans leur occasionner la moindre gêne. En revanche, la télécommande n’est pas très pratique, et ce pour une bonne et simple raison contrairement à la manette, cette dernière n’est pas visible dans les expériences. Résultats des courses, pour modifier le volume sonore, vous devez procéder à l’aveugle. Bien sûr, Sony a orné chaque touche d’un pictogramme en relief, mais ce n’est pas suffisant et il m’est ainsi arrivé à plusieurs reprises d’éteindre le casque en voulant augmenter son volume. Concernant les interactions, deux possibilités d’offrent aux utilisateurs. Ces derniers peuvent en effet utiliser au choix la DualShock 4 ou bien les PlayStation Move pour interagir avec les expériences délivrées par le casque. Dans les faits, cependant, les PlayStation Move ne seront pas supportés par tous les titres et il faut avouer que c’est assez dommage. En outre, et contrairement à ce que l’on pourrait penser, ces périphériques ont aussi leurs limites et nous reviendrons sur ce point un peu plus bas. Et l’image alors ? Techniquement, le PlayStation VR embarque un écran OLED de 5,7 pouces capable d’afficher du 1920 x 1080 avec un taux de rafraîchissement compris entre 90 et 120 Hz et un champ de vision de 100°. J’avais de sérieux doutes sur la définition affichée par le casque, mais Sony a tout de même réussi à limiter l’effet de tramage et certaines expériences sont vraiment de toute beauté. Fonctions & Expériences Le PlayStation VR a beaucoup d’arguments, c’est indéniable, mais un casque à réalité virtuelle n’est rien sans un bon catalogue derrière. Je n’ai – encore – pas eu l’occasion de tester toutes les expériences proposées sur le PlayStation Store, seulement certaines d’entre elles. VR Worlds Il s’agit de l’expérience fournie avec le casque. Pour être franc, votre humble serviteur n’en attendait pas grand-chose et il pensait ainsi se retrouver face à de simples photos ou vidéos à 360°, mais ce n’est pas le cas. La collection regroupe en effet cinq expériences très différentes les unes des autres, des expériences très bien exécutées. Ocean Descent vous mettra dans la peau d’un plongeur parti explorer les fonds marins. Le titre est dépourvu d’interaction, mais il permet de s’habituer tout doucement à la réalité virtuelle et c’est sans doute l’expérience à lancer pour commencer. VR Luge ne m’a pas particulièrement enthousiasmé. L’expérience nous place en effet sur une luge urbaine dévalant à toute allure sur la route. À la base, le concept était plutôt prometteur, mais la réalisation ne va pas assez loin. The London Heist m’a pas mal bluffé en revanche. Le titre nous place dans la peau d’un gangster londonien chargé d’effectuer le plus gros casse de sa carrière, mais rien ne va se passer comme prévu. Contrairement à Ocean Descent, cette expérience propose pas mal d’interactions et il est ainsi possible de saisir des objets se trouvant autour de nous en maintenant enfoncée la gâchette de la DualShock 4. En revanche, les différents tableaux présentés sont tous figés et nous ne pouvons donc pas nous déplacer à travers les environnements. Danger Ball fait dans la raquette pour sa part et il se présente ainsi sous la forme d’un jeu de tennis futuriste dans lequel nous contrôlons notre raquette à l’aide de notre tête. C’est pas mal, les graphismes sont marrants et on se laisse très vite prendre dedans. Scavenger’s Odyssey est sans doute une des meilleures expériences proposées par la collection. Il verse en effet dans le FPS spatial et il nous met ainsi aux commandes d’un véhicule spatial piloté par une créature étrange chargée d’enquêter sur un artefact. Il est jouable uniquement à la DualShock 4, mais il place la barre très haut. Attention en revanche, car l’expérience bouge beaucoup. Stranger Things the VR Experience Cette fois, il ne s’agit pas d’un titre, mais d’une expérience tirée de la célèbre série de Netflix, une expérience vous mettant dans la peau de Will Byers, un Will Byers perdu dans le monde à l’envers. Compatible uniquement avec le PlayStation Move, cette expérience se compose elle aussi de plusieurs tableaux différents, à la manière du fameux London Heist évoqué un peu plus haut. Toutefois, le gameplay est bien pensé et nous pourrons ainsi éclairer la pièce où nous nous trouvons à l’aide du contrôleur de droite, transformé en lampe-torche pour l’occasion, et nous déplacer à l’aide du contrôleur de gauche. Contrôleur qui sera également utilisé pour saisir certains objets comme le téléphone. L’ambiance, elle, est au rendez-vous et on a réellement le sentiment d’être plongé dans l’univers de Stranger Things, ce qui est évidemment très problématique lorsque le Demogorgon rentre en jeu. Sensations garanties. Farpoint Farpoint est disponible depuis le mois de mai de l’année dernière, et il a rencontré un certain succès auprès des possesseurs du PlayStation VR. J’étais donc très intrigué à l’idée de le tester et on peut dire qu’il ne m’a franchement pas déçu. L’histoire est plutôt simple à la base. Deux scientifiques ont été envoyés aux confins de l’univers afin d’étudier une anomalie gravitationnelle. Le joueur incarne pour sa part un militaire chargé de les escorter en direction de la station spatiale la plus proche. Tout ne se passe cependant pas comme prévu et l’anomalie en question finit par absorber tout le monde et nous envoyer vers une exoplanète hostile où vivent des organismes rappelant inévitablement Alien. Le titre verse allègrement dans le shooter et il est franchement très convaincant, avec des décors sublimes et une intrigue haletante. L’immersion est totalement dingue pour sa part et il suffit ainsi de se tenir sur le bord d’une falaise pour avoir le vertige. En marge, Farpoint propose aussi de nombreuses armes et un mode coopération que votre serviteur n’a pas eu l’occasion de tester. Skyrim VR Skyrim, c’est un peu le titre universel par excellence. Il est en effet disponible sur toutes les plateformes et il est arrivé sur le PS VR en fin d’année dernière, sous la forme d’une version totalement indépendante. La première chose à savoir, c’est que ce dernier ne se comporte pas de la même manière avec la DualShock 4 et avec les PlayStation Move. Si vous optez pour la DualShock 4, alors les contrôles seront les mêmes que la version traditionnelle et il faudra donc presser les boutons de la manette pour attaquer vos ennemis, vous baisser ou même sauter. Les Move offrent une immersion différente et ils représenteront ainsi vos mains. Il suffira alors de les bouger pour frapper vos ennemis avec votre épée, bander votre arc ou lancer vos sorts. En revanche, les PlayStation Move ne vous permettront pas de vous déplacer directement à travers le monde de Skyrim et il faudra ainsi appuyer sur une touche et viser la direction où vous souhaitez vous rendre pour vous téléporter directement sur place. L’autre solution consiste à maintenir enfoncé le bouton principal du contrôleur pour avancer, mais là encore ce n’est pas toujours – de mon point de vue – agréable sur de longues sessions. Au final, si ces derniers sont plutôt amusants, on finit très vite par se tourner vers la DualShock 4 pour plus de commodités. Et là, on se prend une vraie claque. Skyrim VR ne nous permet pas uniquement d’arpenter Bordeciel en long, en large et en travers, il nous propulse carrément dans l’univers du titre avec une immersion totale et franchement bluffante. Pour le reste, eh bien Skyrim VR est à l’image du titre original vaste, complet et terriblement addictif. Alors bien sûr, les textures sont un peu vieillissantes et les animations ne sont pas toujours des plus fluides, mais l’immersion est vraiment impressionnante et on se sent ainsi totalement immergé dans l’univers. Conclusion Et la nausée dans tout ça ? Si vous vous intéressez un peu au marché de la réalité virtuelle, alors vous savez sans doute que nous ne sommes pas tous égaux face à la nausée. Il semblerait que votre serviteur fasse partie des privilégiés. Aucune nausée particulière à déclarer. En revanche, certaines expériences m’ont fait un peu perdre l’équilibre et c’est le cas de Farpoint ou encore de Skyrim VR. Ma femme n’a pas non plus eu de nausées particulières, pas plus que mes belles filles et mes beaux parents. En revanche, ma belle-soeur et mon beau-frère ont ressenti une légère nausée le soir suivant leur visite. Dans ce contexte, si je peux vous donner un conseil, c’est de tester le casque avant de l’acheter. Et la vie fait plutôt bien les choses, car le PlayStation VR fait précisément des produits pouvant être testés avec Demooz. Si vous vous inscrivez sur le site, vous aurez en effet la possibilité de trouver un demoozer près de chez vous et prendre rendez-vous avec lui pour connaître son ressenti sur le casque et même le tester. Et pour les plus téméraires, sachez que nous avons aussi lancé en partenariat avec Demooz un concours afin de vous faire gagner un casque. Tout ce que vous avez à faire pour tenter votre chance, c’est de vous inscrire sur le service par le biais de ce lien. Vous avez acheté le casque de réalité virtuelle PS VR développé par Sony pour la Playstation 4. Ce casque RV est très performant et est pleinement compatible avec la PS4 et la PS5 à l’aide d’un adaptateur. Cependant, le PS VR n’est pas pleinement compatible avec les PC. En effet, Sony a fabriqué son casque de réalité virtuelle pour être utilisé avec ses consoles de jeux. Mais il est possible de l’utiliser sur son Ordianteur de gaming après quelques manipulations. C’est pourquoi, nous vous avons expliqué dans cet article, comment installer votre PS VR sur votre PC. Installer Trinus PSVR pour utiliser le casque PS VR sur PC À l’aide de Trinus PSVR, il est possible d’installer votre PS VR sur votre PC. En effet, l’application Trinus PSVR va permettre de rendre compatible votre casque de réalité virtuelle PS VR avec votre PC Windows. Pour ce faire, il vous faudra dans un premier temps, télécharger le logiciel Trinus PSVR. Puis l’installer sur votre PC pour pouvoir utiliser votre PS VR. Une fois l’application téléchargée, il vous suffit de suivre les instructions présentées à l’écran pour installer Trinus PSVR. Une fois cette étape réalisée, vous devrez maintenant brancher votre PS VR à votre ordinateur PC. Pour cela, il vous suffit d’utiliser un câble HDMI pour connecter et installer votre PS VR sur votre PC. Si votre Ordinateur n’a pas de port HDMI disponible, il vous faudra acheter un adaptateur. Ensuite, branchez le câble USB sur un port USB de préférence. Enfin connectez le câble d’alimentation à une prise électrique. Ensuite, il faut ajuster la résolution d’image de votre PS VR pour l’installer correctement sur votre PC. Pour ce faire, entrez dans les paramètres de votre PS VR. Puis cliquez sur système. Ensuite, sélectionnez affichage. Enfin cliquez sur Étendre ces écrans. Puis sous définitions / résolution sélectionnez 1920 x 1080. Configuration de Trinus PSVR et Steam VR Pour pouvoir installer et jouer avec votre PS VR sur votre PC. Alors, vous aurez besoin de correctement configurer Trinus PSVR et Steam VR. Pour calibrer votre PS VR sur votre PC en utilisant Trinus PSVR, suivez ces étapes Veillez à ce que steam VR soit installé sur votre PC Ensuite, lancez l’application Trinus PSVR sur votre ordinateurPuis depuis le menu Principal, cliquez sur affichage du casque, puis DISPLAY1 Ensuite, dans le menu déroulant Mode, sélectionnez SteamVRPuis, cliquez sur Assign KeyEnsuite, sélectionnez Utiliser la molette de la souris pour zoomerPlacez votre casque PS VR sur une table stable et plate. Puis, cliquez sur Démarrer Démarez l’application Steam et cliquez sur VR Ensuite, cliquez L’assistant de configuration et suivez les instructions pour calibrer votre PS VR en mode debout uniquement. Renseignez votre taille à cette étape. Vous devriez maintenant voir la vue en réalité virtuelle. Le raccourci pour passer sur la vue du casque est Windows + Shift + Flèche droite. Voilà, votre casque de réalité virtuelle PS VR est maintenant installé sur votre PC. Notez que tous les jeux de VR ne sont pas compatibles avec le PS VR sur PC. En effet, seuls les jeux supportant le clavier et la souris pourront être utilisés. Maintenant que vous savez installer le PS VR sur un PC. Vous vous demandez peut-être comment brancher le PS VR sur PS5, suivez le lien, on vous explique tout. Posté dans Autres Le 3 août 2021 par Anthony Cocain Le Surefire Skirmish est un nouveau casque gaming au rapport qualité/prix béton. C’est Verbatim qui propose ce produit disponible au tarif imbattable de 33€ actuellement sur Amazon. Mais qu’avons-nous pour ce prix là? On a donc ici un casque qui d’emblée en jette avec son look racé et ses couleurs pixel/camo noir et vert. Il est filaire et embarque un micro avec éclairage LED présent aussi sur les écouteurs. A ce prix là, pas de surround mais un son stéréo Les haut-parleurs de 50 mm font le travail et on apprécie un certain confort au niveau des oreillettes en mousse. Le micro est flexible et est efficace. Sur le côté du casque on peut facilement baisser le volume ou mettre le micro en sourdine. Le casque est compatible Windows et Mac avec un port USB ou USB Le câble est de 2,5 m ce qui laisse une bonne liberté et on note un poids de 390gr très agréable. Notez tout de même que vous pourrez brancher le Surefire Skirmish sur votre console. Evidemment pour ce prix, pas de logiciel de réglages ou d’annulation de bruit ambiant. Le casque Surefire Skirmish reste un produit entrée de gamme mais on a ici un très bon produit qui ravira les utilisateurs pour le gaming, la musique ou le multimedia qui ne demandent pas de surroung ou de réglages pointus. Son look est l’un de ses gros atouts et malgré son prix mini il n’a pas de réels défauts. Ecrit par Anthony Cocain Créateur du blog, webmaster, rédacteur, testeur... depuis 2006. Joueur depuis... les 80's... Je souhaite partager avec vous ma passion du jeu video à travers son histoire et son actualité avec tests, news, previews, reportages...

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